27/08/2018
Sommaire
A l’aéroport, direction Vancouver
Ce matin, après 3 petites heures de sommeil, c’est encore endormis que nous avons pris la route de l’aéroport. Sur place, comme à notre habitude, on a fait le tour de l’aéroport avant de trouver l’endroit où on devait enregistrer nos bagages. Mais, pas de soucis, on était en avance.
C’est avec un petit pincement au cœur qu’on a dû se séparer de notre sirop d’érable avant de prendre l’avion. On avait oublié de le mettre dans notre bagage en soute, et ça ne passait pas en cabine.
Le vol s’est bien passé. Rien de particulier à dire. A l’aéroport de Vancouver, on a attendu assez longtemps pour avoir notre voiture de location, une Ford Edge (là aussi, on a été surclassé). Mais on n’était pas spécialement pressé donc on l’a pris cool. Après tout, c’est quoi 1 heure dans une vie… ?
Et cette voiture, on l’a tellement adorée ! Spacieuse, confortable, bien équipée… C’était presque une petite maison sur roues.
La visite de Vancouver
Une fois véhiculés, on est allé arpenter quelques rues avant de foncer dans un parc pour se ressourcer. On s’est posé sur un banc pour déjeuner. Quelques tranches de pain de mie ont fait l’affaire. On était au soleil et il faisait bon.
On a fait le tour du parc en regardant la vue que la nature nous offrait à peu près partout. Puis, au lieu d’aller au cœur même de la ville, comme on l’a fait jusque-là, on a préféré trouver un autre parc pour voir encore plus de paysages naturels.
On a trouvé notre bonheur au Stanley Park. On y a vu de la forêt avec des arbres géants qui nous faisaient nous sentir comme des fourmis, des marécages, un lac recouvert de végétation et de belles plages donnant sur les montagnes.
Pour terminer cette journée, on est allé se poser sur la plage pour regarder le soleil se coucher, après avoir fait quelques courses.
On aurait voulu voir du plancton bioluminescent dans les vagues mais il semblerait qu’on ait confondu Vancouver et Île de Vancouver… ^^
Cette nuit, on a choisi de dormir dans la voiture, sur le parking du Walmart. Ca devient une habitude, mais on prend vite goût à cette liberté, l’air de rien…